Entrevue réalisée par Alexandre Mailhot, le jour de l’anniversaire d’Olivier !
Bonjour et merci de participer à cet entretien. Est-ce que tu peux me parler de ton parcours chez GLOBOCAM depuis ton arrivée ?
J’ai commencé en janvier 2000; j’avais une expérience d’environ 4 ans chez Volvo. J’étais, à l’époque, apprenti 3e année et, comme j’avais commencé ma formation moteur là-bas, j’ai poursuivi en ce sens avec GLOBOCAM.
Maintenant, je suis autant du côté mécanique que diagnostic quand ça touche un moteur. Ça doit faire environ 15 ans que je fais du moteur et du diagnostic, j’assume aussi le rôle de chef d’équipe. Quand on était ouvert le samedi (horaire habituel de nos concessionnaires en contexte hors-pandémie), j’avais également le rôle de contremaitre. Être chef d’équipe me permet de former les nouveaux et j’apprécie ça. Je trouve que c’est une belle progression.
Depuis ton arrivée, qu’est-ce qui a le plus changé ?
Je pense que GLOBOCAM met le focus sur ses salariés; les avantages sociaux, les salaires et les REER montent et sont très bien présentement. Aussi, ils [GLOBOCAM] s’arrangent pour que le garage soit plus « travaillable »; il est plus ventilé, plus éclairé et plus chauffé. Quand je suis arrivé, l’hiver c’était froid ! Avant, l’espace actuel était utilisé [par l’ancien exploitant de la bâtisse] comme entrepôt de piscine; il y avait 4 lumières et je ne suis pas certain que c’était chauffé en hiver. Au niveau des outils aussi, on est mieux outillé. Pour ce qui est des camions, l’évolution majeure ce sont les systèmes électroniques. Aujourd’hui, si tu enlèves l’électronique d’un camion, il n’avance plus ! Contrairement à avant où il avait seulement 3-4 fils.
Qu’est-ce qui te rend toujours heureux dans ton travail ?
J’aime mon métier. C’est sûr qu’il y a des jobs plus fun que d’autres. De plus, je me sens en confiance dans les travaux que j’exécute, donc ça va bien et mon boss me fait confiance aussi, alors c’est le fun de venir travailler.
La grosse motivation provient vraiment des jeunes; travailler avec les jeunes, leur montrer. Moi, je ne garde rien pour moi. J’aime ça donner aux jeunes. J’ai toujours tout dit ce que je sais; l’équipe est plus importante que le reste.
Quand tu regardes les 20 dernières années, qu’est-ce qui te rend fier dans ton travail ?
Encore là, je vais surement me répéter; il y a des techniciens que j’ai eus en stage et, maintenant qu’ils ont plusieurs années de service, quand ils me disent que je leur ai donné des trucs en mécanique, c’est vraiment motivant de se faire dire ça ! Quand ils ont des questions, on échange encore ensemble, c’est une marque de confiance à mes yeux. Parler avec les techniciens pour se partager des conseils dans le travail, ça me motive vraiment; que ce soit des jeunes ou des vieux, c’est vraiment motivant !
As-tu un rêve dans ton travail que tu aimerais voir se produire dans les prochaines années ?
Un jour, j’aimerais que le facteur temps soit moins important, mais ça fait partie du job. Le client attend le camion, donc on se doit de respecter les temps. Ce que j’aime c’est qu’on s’améliore. Il y a toujours place à amélioration et on y travaille.
Quels conseils donnerais-tu à un nouvel employé de GLOBOCAM ?
Être patient; pas toujours évident au début ! En commençant, c’est sûr que tu fais des jobs de base et que tu dois te démarquer. Si tu veux avancer, il faut que tu montres que tu veux, donc fais ta période avec les jobs plus de base et, après, tu vas voir : ça va être plus le fun, car tu vas pouvoir faire plus de choses et t’orienter dans ce que tu aimes.
Selon toi, qu’est-ce qui fait le succès de GLOBOCAM ?
GLOBOCAM a toujours été pro-client. Ils [GLOBOCAM] font tout pour le client et on pousse beaucoup pour les clients. En plus, le produit, on a un bon produit. Le camion à 100% est, selon moi, plus évolué que le reste de la compétition.
As-tu des passetemps particuliers ?
Particuliers, je ne sais pas, mais je travaille le bois. Je fais de l’ébénisterie, de la foresterie et de la construction. Ça reste manuel, mais il faut quand même que tu réfléchisses avant de travailler. J’ai aussi des chevaux de type canadien, je les monte et on a des sentiers pour se promener.